Ou? 7eme journées de psychiatrie HESAV, Haute école de santé Vaud, Lausane Quand? 23 et 24 avril 2015 Quoi? Croquis Sonores pour les Journée Les maux Croisés de la dépression Note: Ce croquis sonore fait suite à l'intervention de M.François Villa |
Les mots qu’on croit, et ceux qu’on croise
Moi les mots je les crois,
Et je les croise parfois,
C’est ce que je fais là en écrivant à partir de ce que les autres disent,
ça frise le plagia mais voilà je suis là pour ça…
Pour commencer on peut dire que
François Villa ne vit pas là mais à Paris,
Il est venu parler de Freud et de Léonard De Vinci
moi je me dis:
Est ce que Freud qui étudie Léonard De Vinci
Devint scie?
Si oui, et s’il rit, sera-t-il scierie?
Tandis qu’en Syrie la situation est dramatique, c’est déprimant
La dépression s’impose comme la maladie du siècle…
L’angoisse c’est ce qui ne trompe pas contrairement à la dépression (et aux éléphants qui eux trompent énormément)
La dépression est floue, on sait de moins en moins de quoi l’on parle
Aujourd’hui grâce au DSM la confusion est dissimulée
(c’est une con-fusion qui est dite « simulée »)
Dans le monde du travail il y a l’homme déprimé et l’homme des primes, c’est à dire l’homme performant.
La dépression c’est un truc d’humeur, ou un truc que tu meurs, question de moeurs…
La dépression est une tique: trauma-tique, névro-tique, psycho-tique, etc.
Mais comment différencier le tic et l’étique…
Contagion empathique: la dépression regarde chacun, car elle porte atteinte à la figure humaine… Mais quand est ce qu’on se regarde?
Le sens vient des sens, alors un peu de décence.
Nous somment dépendants des autres. Car on a besoin des autres pour être des pendants, seul on ne peut être qu’un des pendants donc un des perdants.
Il faut du tact pour le con-tact…
Il y a le battement de temps et le battement de coeur… Le rythme de cette oscillation varie et c’est cela qui articule le passé et l’avenir.
On peut le dire: d’avenir le devenir de l’être humain est un crétin… Heu, incertain.
L’avenir peut paraître froid et sombre, inachevable,
A cheval sur l’immuabilité et sur le hors temps
Alors a-t-on perçu les morts inaperçus,
A-t-on perçu les mots inentendus?
Ce qui ici se lit, ce qui se laisse entendre, c’est qu’il faut tendre l’oreille et écouter…
Pas écourter la parole et ses chantiers.
Moi les mots je les crois,
Et je les croise parfois,
C’est ce que je fais là en écrivant à partir de ce que les autres disent,
ça frise le plagia mais voilà je suis là pour ça…
Pour commencer on peut dire que
François Villa ne vit pas là mais à Paris,
Il est venu parler de Freud et de Léonard De Vinci
moi je me dis:
Est ce que Freud qui étudie Léonard De Vinci
Devint scie?
Si oui, et s’il rit, sera-t-il scierie?
Tandis qu’en Syrie la situation est dramatique, c’est déprimant
La dépression s’impose comme la maladie du siècle…
L’angoisse c’est ce qui ne trompe pas contrairement à la dépression (et aux éléphants qui eux trompent énormément)
La dépression est floue, on sait de moins en moins de quoi l’on parle
Aujourd’hui grâce au DSM la confusion est dissimulée
(c’est une con-fusion qui est dite « simulée »)
Dans le monde du travail il y a l’homme déprimé et l’homme des primes, c’est à dire l’homme performant.
La dépression c’est un truc d’humeur, ou un truc que tu meurs, question de moeurs…
La dépression est une tique: trauma-tique, névro-tique, psycho-tique, etc.
Mais comment différencier le tic et l’étique…
Contagion empathique: la dépression regarde chacun, car elle porte atteinte à la figure humaine… Mais quand est ce qu’on se regarde?
Le sens vient des sens, alors un peu de décence.
Nous somment dépendants des autres. Car on a besoin des autres pour être des pendants, seul on ne peut être qu’un des pendants donc un des perdants.
Il faut du tact pour le con-tact…
Il y a le battement de temps et le battement de coeur… Le rythme de cette oscillation varie et c’est cela qui articule le passé et l’avenir.
On peut le dire: d’avenir le devenir de l’être humain est un crétin… Heu, incertain.
L’avenir peut paraître froid et sombre, inachevable,
A cheval sur l’immuabilité et sur le hors temps
Alors a-t-on perçu les morts inaperçus,
A-t-on perçu les mots inentendus?
Ce qui ici se lit, ce qui se laisse entendre, c’est qu’il faut tendre l’oreille et écouter…
Pas écourter la parole et ses chantiers.